Nous trouvons, achetons les châssis de voitures d'exceptions puis notre équipe construit à la main des réplicas et les équipons d'un moteur hybride, puis le groupe mets à disposition sous forme de ventes, locations à des tarifs avantageux aux membres des passionnés, pour de la location pure ou pour des évenements d'exhibitions, de rallyes sportifs et/ou touristiques ou des courses!
Le nouveau groupe de passionnés de véhicules d’exceptions, est constitué de passionnés de belles mécaniques, amis en y ajoutant un moteur hybride pour pouvoir vous donner du plaisir tout en respectant l'environnement et donc le climat!
On vous donne une avant-première sur la base d’une hybridation sur un châssis d’une replica LOLA T70.
Voiture hybride : la définition
Par définition, la voiture hybride combine des motorisations de nature différente, thermique d’un côté, électrique de l’autre. Le moteur thermique, essence dans la plupart des cas, peut être associé à un ou plusieurs blocs électriques, situés sur le train avant et/ou sur le train arrière du véhicule.
Il faut ensuite distinguer le véhicule hybride classique du véhicule hybride rechargeable (VHR). La différence fondamentale entre les deux types d’hybridation réside dans la capacité de leur batterie et leur moyen de recharge. En sachant que la technologie hybride a recours à trois architectures différentes : série, parallèle, mixte (ou à dérivation de puissance).
Voiture hybride : le fonctionnement
Dans le cas d’une simple voiture hybride, non-rechargeable, aussi qualifiée de « Full Hybrid », la batterie présente une faible capacité avoisinant 1 kWh. Elle augure d’une autonomie électrique limitée à quelques kilomètres et une vitesse maximale d’utilisation tournant autour de 50 km/h. La batterie est rechargée grâce au moteur thermique et un éventuel dispositif de récupération d’énergie cinétique au freinage, un type d’hybridation dédié à la conduite en ville.
Pour l’hybride de série, le petit moteur thermique sert exclusivement de générateur au bloc électrique. L’hybride parallèle, davantage répandu, est baptisé ainsi en raison du fonctionnement en parallèle des moteurs thermique et électrique, tous deux reliés à la transmission. Enfin, l’hybride mixte (ou à dérivation de puissance) se charge d’opérer, selon la situation donnée, une transition entre les deux modes précités, une architecture prisée du groupe Toyota/Lexus.
A l’inverse, la voiture hybride rechargeable, désignée sous le terme de « Plug-in Hybrid » embarque une batterie de plus grande capacité, en mesure d’être rechargée par le biais d’une prise à la manière d’un véhicule électrique. Sa capacité oscillant généralement entre 8 et 12 kWh donne lieu à une autonomie électrique comprise entre 20 et 60 km pour une vitesse de pointe d’environ 120 ou 130 km/h. Le moteur thermique ne prend le relais que si cette vitesse est dépassée ou si la batterie est déchargée. Pour la recharger, il faut avoir recours à une prise domestique ou une borne de recharge comme une e voiture électrique.
Nos REPLICAS LOLA T70:
Celles-ci seront fabriquées en Angleterre sur deux bases de moteurs hybrides connus et reconnus, l’une sur l’hybridation sur moteur AUDI, l’autre avec un moteur TOYOTA.
· La Lola T70 :
· Elle est une voiture de course développée par le constructeur britannique Lola Cars à partir de 1965 pour des courses d'endurance américaines.
· Elle est équipée d'un V8 Chevrolet de 5,4 ou 6,2 litres, associé à une boîte à 4 ou 5 vitesses. En 1966, alors que 15 voitures ont été vendues, la Lola T70 mk II est mise sur circuit.
· Elle remporte 3 des 6 courses de la CanAm et consacre John Surtees.
· D'autres courses sont remportées à travers le monde dans le domaine de l'endurance. 32 voitures supplémentaires sont ensuite vendues. Deux ans plus tard, les prototypes voient leur cylindrée limitée à trois litres, sauf s'ils ont été fabriqués à 50 exemplaires auquel cas la cylindrée est limitée à 5 litres.
· Le principal succès de la T70 Mk IIIB est alors un doublé aux 24 Heures de Daytona avec un V8 Chevrolet de 5 litres.
· Mais en 1969, le nombre de voitures à construire pour homologation descend à 25, ce qui implique les arrivées de la Porsche 917 et de la Ferrari 512. La Lola T70 est alors dépassée, et Broadley prépare la T160 pour continuer l'aventure en Can-Am.
· Aujourd’hui, on peut encore apercevoir la Lola T70 à l'occasion de courses rétrospectives internationales comme Le Mans Classic
· Palmarès
Champion lors du premier challenge CanAm en 1966 avec John SurteesVainqueur des 24 Heures de Daytona en 1969 avec le Penske Racing et les pilotes Mark Donohue et Chuck ParsonsVainqueur des 6 Heures de Watkins Glen en 1967 avec John Fulp et en 1968 avec Mark DonohueVainqueur du RAC Tourist Trophy en 1966 et 1968 avec Denny Hulme et en 1969 avec Trevor TaylorVainqueur des 1 000 kilomètres de Vila Real en 1970 avec Teddy Pilette et Gustave GosselinTriplé au Mans Classic 2014 (en plateau 5 1966-1971)Triplé au Mans Classic 2016 (en plateau 5 1966-1971)
· Superbe et racée, la Lola T 70 MkIII semblait promise à un fabuleux destin. Produite en petite série, elle se fit admirer sous toutes les latitudes, enleva d'innombrables succès, mais faute du soutien d'une solide équipe officielle et d'un développement constant, elle passa à côté d'une grande carrière.
· Trustant les victoires dans les courses de club anglaises avec ses petits roadsters à moteur avant, Eric Broadley connaît le succès dès le début des années soixante. Pourtant la marque Lola n'est alors connue que des seuls enthousiastes à une époque où le sport automobile britannique est riche de dizaines de petits constructeurs.
· La production de Formules Junior, puis d'une Formule 1 en 1962 pour John Surtees, lui apporte une notoriété accrue, mais c'est le coupé Mark 6 GT qui va projeter Lola sous les feux des projecteurs. Dévoilée lors du Racing Car Show de Londres en janvier 1963, cette voiture bouleverse les traditions du Grand Tourisme. Surbaissée, compacte et moderne, cette berlinette à châssis monocoque et moteur central arrière démode immédiatement toutes ses rivales, y compris les plus prestigieuses créations italiennes.
· Faute de moyens financiers, Broadley ne pourra lancer la production des 100 exemplaires requis pour l'homologation en GT et les rares sorties en course de la Lola seront plutôt décevantes. Qu'importe, la voie du succès est tracée. Ford qui vient de lancer son programme "Le Mans" décide, faute de temps, de confier la réalisation de sa voiture à un constructeur européen.
· Broadley qui offre l'avantage de présenter une voiture déjà bien réelle propulsée par un V8 Ford, plutôt qu'une simple esquisse tracée à la hâte, fait rapidement l'unanimité.
· Sur la base de sa Mark 6, Broadley développe celle qui deviendra la GT 40, mais à la fin 1964, étouffant dans la superstructure technocratique montée par Ford et voyant que ses suggestions sont souvent ignorées, il décide de reprendre sa liberté. Sur la base de ses travaux jugés trop "audacieux" par Ford, il produit alors sa propre voiture : la T 70.
· Lee lacocca proposa à Leo Beebe, directeur du marketing pour les camions et les voitures de Ford International en Europe, de devenir le patron de la division « véhicules spéciaux » chez Ford en avril 1962. Leo Beebe accepta et moins de dix jours plus tard, était de retour à Dearborn. Le job était on ne peut plus simple: Gagner à Indianapolis, à Daytona et bien sûr aux 24 Heures du Mans.
· Beebe n’avait jamais vu une voiture de course de sa vie, mais il devint l’homme en charge de l’ambitieux programme « Total Performance » de lacocca pour Ford. A l’époque lacocca cherchait à donner un certain esprit de sophistication aux voitures Ford.
· Les voitures européennes de sport, et en particulier, les Ferrari l’impressionnaient. Il pensa très vite qu’acheter la petite firme italienne serait la méthode la plus directe. Il envoya, à travers l’organisation de Ford en Italie, des émissaires qui étaient chargés de faire passer le message : Ford était intéressé par l’achat d’une partie de la firme Ferrari.
· Une équipe de scrutateurs de chez Ford débarqua à Maranello et examina avec minutie les moyens de production, ateliers et bureaux, ainsi que les voitures finies. Ils revinrent à Dearborn avec un inventaire complet de tous les avoirs de Ferrari. Ford proposa 18 millions de dollars pour 90 % des actions de Ferrari. Le nom deviendrait Ford-Ferrari et Ford obtiendrait les droits exclusifs et le contrôle du nom Ferrari.
· Le service course et le développement afférent seraient transférés dans une nouvelle compagnie appelée Ferrari-Ford dont Ferrari posséderait 90 % des actions et gérerait les courses telles que Ford le déterminerait. Mais Ferrari et Ford ne purent concrétiser. Plus Enzo Ferrari voyait les avocats de Ford mettre leur nez dans ses affaires, moins il avait envie de vendre sa firme et la voir reprise par le géant américain. Il commença à imposer de nouvelles conditions presque chaque jour, et quand Ford les acceptait, c’était pour s’en voir proposer de nouvelles. Une de ces conditions était que Ford ne devait faire courir des voitures qu’exclusivement par les soins de Ferrari, ce qui éliminait l’opération Ford Cobra. Finalement, le » Comendatore » rompit les négociations.
· Il ne restait plus à Ford qu’à créer une unité spéciale pour développer son propre prototype pour les courses internationales de longue distance : » Ford advanced vehicles » était né et avec lui la Ford GT. Le temps était trop court pour partir d’une feuille blanche quand Ford entendit parler de la » Lola GT » d’Eric Broadley qui était très avancée. La voiture était aérodynamique et utilisait un moteur Ford V8, 256 cu. inches, central arrière. Elle était aussi compacte et légère grâce à un châssis monocoque en aluminium.
· Eric Broadley n’avait pas les moyens financiers nécessaires au développement de sa dernière création et signa rapidement un contrat de deux ans avec Ford. Il pensait que si Ford l’avait choisi, de préférence à Cooper ou Lotus, c’était pour développer la Lola GT ou Mk6 coupé, qui avait été la vedette indiscutable du » Racing Car Show » à l’Olympia Hall en janvier 1963. De fait Ford acheta à Eric Broadley deux des trois Mk6 construites et en envoya une à Dearborn pour évaluation et demanda à Bruce Mc Laren de tester l’autre à Goodwood et à Monza. La troisième voiture avait été achetée par John Mecom et motorisée par Chevrolet. En août 1963, Ford s’adjoignit les services de John Wyer, qui avait acquis une grande réputation comme chef d’écurie d’Aston Martin, surtout après la victoire aux 24 Heures du Mans de la DBR 1 pilotée par Carroll Shelby et Roy Salvadori. John Wyer et Eric Broadley se partagèrent la responsabilité des études et de la production de la nouvelle Ford GT avec l’ingénieur anglais expatrié Roy Lunn, chargé du « Vehicle Concepts Department » de Ford.
· Des désaccords entre Roy Lunn et Eric Broadley apparurent rapidement. Lunn désirait que le châssis de la nouvelle voiture soit en acier en vue de la plus grande facilité de production, ce qui mettait Broadley au désespoir, pour lui le châssis ne pouvait être qu’en aluminium. Les deux hommes ne se parlaient plus et ne communiquaient que par lettre ou à travers John Wyer.
· Eric Broadley finit par demander la renégociation de son contrat et obtint gain de cause : il recommencerait à construire des voitures à son nom et durant l’été 1964, les nouveaux locaux de « Lola Cars » virent le jour tout près de « Ford Advanced Vehicle » à Slough. Eric Broadley se mit immédiatement au travail, il avait en tête la Lola T70, c’est-à-dire le chef-d’oeuvre qu’aurait due être la Ford GT 40, jugée par Broadley trop conservatrice…
· La Ford GT 40 gagna quatre fois d’affilée les 24 Heures du Mans, mais c’est surtout grâce aux moyens colossaux mis en oeuvre pour le géant américain. La petite structure artisanale de « Lola Cars » ne pouvait, bien entendu, rivaliser et pourtant la T70 fut un succès immédiat. Dès 1966, Surtees gagna à son volant le championnat Can-Am et David Hobs, Denis Hulme et Brian Redman, entre autres, signèrent nombre de victoires avec ces belles voitures, dont le premier exemplaire, n° SL 70/1 fut présenté au « Racing Car Show » le 22 janvier 1965.
· Cette première T70 MK1 fut testée à Silverstone en mars par Surtees, qui égala le record du tour de ce circuit rapide. Ce premier exemplaire était motorisé par un 4’5 Traco Oldsmobile. Eric Broadley avait dessiné sa voiture de façon à ce que tout moteur américain, jusqu’à six litres de cylindrée, y trouve sa place. John Surtees battit le record détenu par une Formule 1 à Oulton Park de plus d’une seconde avec son moteur Traco qu’il changea pour un cinq litres Chevrolet, puis un 5,9 litres.
· La voiture présentée est un des neuf coupés Lola T70 Mk III construits par Eric Broadley.
· La voiture porte ne numéro de châssis SL73/III et sortit des ateliers Lola en 1967 avant d’être livrée à son premier propriétaire le 2 juin 1967, Monsieur Yongue Rosquist qui gagna le championnat de Suède pour voitures de sport. Sa coque et sa carrosserie sont originales, la voiture a été restaurée aux USA en 2004 et se présente en parfaite condition. Son moteur a été récemment démonté et scrupuleusement remonté et mis au point par l’excellent mécanicien du propriétaire actuel. Les photographies de cette parfaite restauration sont à disposition. C’est une voiture splendide, rare ( il n’en resterait que six exemplaires). Elle est bien sûr éligible dans les plus importantes compétitions historiques dans lesquelles elle n’a que peu de rivales.
Les réplicas existantes :
· Spécifications
· Conduisez : Conduite à gauche ou à droite
· Longueur globale: 4.24m
· Largeur: 1.82m
· Hauteur: 1.01m
· Empattement: 2. 41 m
· Poids: 997 kg
· Répartition du poids : 45 % avant, 55 % à l'arrière (typique, dépend de la transmission et d'autres choix)
· Garde au sol: 2-5", selon la configuration
· Configuration du groupe motopropulseur : moteur intermédiaire
· Capacité du réservoir de carburant : 90 litres au total
· Suspension: Semblable à l'original, mais CNC billet en aluminium verticales, bras de commande et accolades
· Construction de châssis : Châssis monocoque tout aluminium, composé de feuilles et de pièces de billet, entièrement soudé
· Construction du corps: Corps en fibre de verre posé à la main
Article de Gilles Bonnafous du 21/07/2008 :
· Sport-prototype à la ligne superbe, dont les courbes évoquent quelque peu celles de la Ferrari P3, cette Lola T70 Mk III B fait partie de la collection de Richard Mille. Passionné d’automobiles et possesseur d’une belle collection, Richard Mille est aussi l’un des principaux sponsors du Mans Classic. Il avait confié le volant de la voiture à René Arnoux et Shinji Nakano. Derrière le cockpit de la Lola de 1971 à la livrée noire (châssis SL 76-156) rugit un V8 Chevrolet de cinq litres.
Si, associé à Richard Mille, René Arnoux s’est reconverti dans l’horlogerie de luxe, il ne cache pas le plaisir qu’il a toujours à piloter. Jeune soixantenaire à l’éternel visage d’adolescent, il tenait aussi le volant de la Lola de deux litres également engagée par Richard Mille — qui avait encore inscrit une Matra 660.
« Avant Le Mans Classic, j’ai essayé la Lola sur le circuit de Dijon, nous déclare René. Elle est très performante et équilibrée, son moteur est souple et élastique, doté d’un couple énorme. Elle accompagne beaucoup dans les virages. Là où certains pilotes passent en deuxième, nous passons en troisième, et l’on a tout ce qu’il faut à la sortie. Il suffit alors de contrôler la puissance avec l’accélérateur. »
· « Mais, tempère René, il faut se replacer dans le contexte de son époque. La voiture date par ses freins et sa boîte de vitesses, qui n’a pas la rapidité de celles d’aujourd’hui. Il faut être patient et attendre que le rapport rentre bien. Et se servir du gros frein moteur. Et puis, il faut conduire en douceur, car si on est là pour faire des performances, il convient de ménager la mécanique. Je suis très respectueux de ces voitures anciennes, dont la maintenance suppose beaucoup de travail et de compétence de la part des mécaniciens. Et cela coûte cher. Quand on pilote en Formule 1, on peut tout demander à la voiture, car il y a une grosse équipe derrière et des moyens importants. Ce n’est pas le cas ici ». Hélas, la voiture sera éliminée sur casse moteur consécutive à un surrégime.
En 1963, Eric Broadley, encore un Eric (lol!...Un petit coucou à Eric Magistrello, PDG de Stark Industries qui a eu l'idée du groupe) en plus cette année là, je naissais tout juste, le fondateur de Lola, dévoile sa remarquable Mk 6, une voiture ultramoderne, monocoque surbaissée à moteur central (V8 Ford 4,2 litres). La Ford GT 40 en est le dérivé direct. Mettant rapidement un terme à son association avec le géant américain, donc Eric Broadley cette fois crée en 1965 la T70. John Surtees s’illustre notamment au volant de cette barquette motorisée par des V8 américains, Ford ou Chevrolet.
L’année suivante, la Mk II au châssis allégé s’impose dans le championnat Canam. Fort de ce succès, Lola décide de courir en 1967 le championnat du monde des Sports-Prototypes, où fait rage le duel Ferrari-Ford. Une voiture fermée est extrapolée de la barquette, la Mk III. Très rapide avec son V8 Chevrolet de six litres, elle s’avère très performante dans les épreuves courtes, où elle s’impose souvent. Mais sa mécanique se révèle fragile sur longue distance.
· En 1968, si la nouvelle réglementation limite la cylindrée des Prototypes à trois litres, une tolérance est accordée jusqu’à cinq litres si cinquante exemplaires du modèle au moins sont construits. La T70 Mk III B bénéficie en 1969 d’un nouveau châssis, qui permet de gagner une cinquantaine de kilos. La carrosserie est également redessinée. Bien que simplement culbuté, son V8 Chevrolet de cinq litres approche les 500 ch.
Toujours très rapide mais d’une fiabilité sujette à caution, la T70 Mk III B ne parvient à s’imposer qu’aux 24 Heures de Daytona. Aux 24 Heures du Mans 1969, Joachim Bonnier et Masten Gregory cassent leur moteur à la treizième heure. L’année suivante, l’équipage Pilette et Gosselin abandonne à la dixième heure sur rupture de transmission et, en 71, à la troisième heure (piston). La T70 Mk III B est maintenant dépassée et elle ne peut affronter la concurrence des Porsche 917 et Ferrari 512, dominatrices en ce tout début des années 70.
Les avantages et le marché d'aujourd'hui:
Voiture hybride : les avantages
Le principal avantage d’un modèle hybride concerne évidemment sa sobriété par rapport au modèle thermique équivalent, sur le volet de la consommation de carburant et de rejets d’émissions polluantes, sans être autant limité sur le plan de l’autonomie que la plupart des voitures électriques. Ainsi, une Yaris Hybride de 100 ch est créditée de 3,3 l/100 km et 84 g/km de CO2, tandis que la version essence de 111 ch revendique 5,0 l et 113 g/km de CO2. Pour le Honda CR-V, c’est 5,3 l/100 km et 119 g/km avec 184 ch en hybride, contre 7,1 l/100 km et 158 g/km avec 193 ch en essence.
Le véhicule entièrement thermique génère une déperdition d’énergie cinétique sur les phases de décélérations et freinages, alors que son homologue hybride se charge de récupérer cette énergie pour alimenter la batterie. En conduite urbaine, une voiture hybride s’appuie sur les atouts de son bloc électrique, en matière de fluidité dans les manœuvres et de silence de fonctionnement. De surcroît, ce type d’hybridation est avant tout destiné aux personnes qui n’ont pas l’assurance de disposer d’une prise de recharge. Pour les autres, il est plus intéressant de se tourner vers l’hybride rechargeable, à condition d’exploiter au maximum son mode « zéro émission » en ville.
En l’absence de bonus depuis 2018, l’achat d’une voiture hybride rechargeable neuve est assortie d’une prime à la conversion de 2500 euros pour un ménage imposable et 5000 euros pour un ménage non-imposable.
Voiture hybride : les modèles actuels et futurs
Actuellement, en fin 2019, le marché français rassemble 43 modèles hybrides dont 23 sont rechargeables. Les constructeurs asiatiques sont nombreux dans ce domaine, avec Toyota, Lexus, Hyundai, Kia, Mitsubishi et Honda, suivi par leurs homologues allemands représentés par BMW, Mercedes, Porsche et Volkswagen, tandis que Volvo dispose aussi de plusieurs modèles hybrides dans sa gamme. Pour l’heure, les constructeurs français ne sont pas présents, hormis sur de l’hybride léger, mais cela va rapidement changer avec les arrivées de plusieurs SUV hybrides rechargeables : Renault Captur, Peugeot 3008, DS 7 Crossback et Citroën C5 Aircross.
Hybridations de nos LOLAT70, sur quelle base possible ?
Plusieurs possibilités sont en cours pour reprendre pour les véhicules qui désirent un maximum de pêche, reprendre ce qui est bien connu le moteur Audi de l’A8 :
· D’après le magazine Turbo, il est clair que la marque à l’étoile mise beaucoup sur la sortie de A8 Hybride.
Car en face, chez BMW par exemple, la barre a été hissée très haut, avec la série 7 et chez Mercedes aussi avec la classe S.
L’Audi A8 Hybride est donc une berline, clairement, construite pour les hommes d’affaires et plus précisément les hommes d’affaires chinois. Ainsi tout est conçu dans ce véhicule de très haut de gamme pour le confort et le bien-être.
On y trouve une climatisation quadri zone, un accoudoir central qui ferait penser à celui d’un salon de prince, des stores électriques sur toutes les vitres passagers, mais aussi sur la lunette arrière, des fauteuils à mémoires de positionnement… La berline est même équipée d’une chaine hifi de très haut de gamme, équipée de 19 haut-parleurs !!Comme le fait remarquer Le Point, l’Audi A8 à tout d’une grande berline de luxe, grâce, notamment, à son couple moteur, qui correspond à celui d’un V8 de 5 litres.
Le moteur 2.0 TFSI développe ainsi 211 CV et il est associé à un moteur électrique, qui permet à la voiture d’afficher 245 CV. Ces chiffres se rapprochent de la puissance d’un V6 3 litres. D’ailleurs, la prouesse des ingénieurs d’Audi est bien d’avoir conçu un moteur qui a du punch tout en étant remarquablement sobre.
Informations techniques de la Audi A8 Hybride :
· Type d’hybride :Non rechargeable
· Moteur thermiqueCylindrée :1984 cm3
· Puissance du moteur thermique :211 cv - 155 kW
· Carburant : Essence Moteur électriquePuissance du moteur électrique :40 kW - 54 cv
· Couple du moteur électrique : NmPerformances globalesPuissance totale :245 cv - 180 Kw
· Emissions de CO2 : 148 gr/kmVitesse maximale :235 km/h0 à 100 km/h7.7 secondes
· Autonomie et batteries de la Audi A8 HybridAutonomie totale :988 kmAutonomie 100% électrique :3 km
· Type de batteries : Lithium-ionCapacité des batteries :1.3 kWh
· Consommation de la Audi A8 HybridUrbain: 6.4 l/100kmMixte:6.3 l/100kmExtra-urbain:6.2 l/100km
· Dimensions de la Audi A8 HybridLongueur : 5140 mmLargeur :1995 mmHauteur :1460 mmPoids :1870 kg
· Nombre de portes : 4Places assises :5Volume du coffre :510 dm3
Bien sur, sur un châssis et un poids nettement inférieur, le résultat est beaucoup plus significatif, sans avoir encore passer au banc ce moteur Hybride dans u de LOLA T70, on peut s’attendre à quelque chose qui va vous booster et vous donner un plaisir de fou.
Mais aussi une version plus sobre que le moteur de la Toyota Prius :
· Ci-joint les caractéristiques techniques Toyota Prius IV :
· Hauteur :1,47 m/1,76 m
· Longeur : 4,54 m
5 places Moteur cylindré : 343 l / 1 557 l 5 portes Automatique Hybride essence électrique
· Généralités
· Date de commercialisation : 01/11/2017
· Date de fin de commercialisation : 12/05/2019
· Durée de la garanti : 36 mois ou 100 000 km
· Intervalles de révision en km : 15 000 km
· Intervalles de révision maxi : 12 mois
Dimensions
· Longueur : 4,54 m
· Largeur sans rétros : 1,76 m
· Hauteur : 1,47 m
· Empattement : 2,70 m
· Volume de coffre mini/maxi : 343 l / 1 557 l
· Nombre de portes : 5
· Nombre de places assises : 5
· Poids à vide : 1 375 kg
Caractéristiques moteur
· Motorisation : Hybride essence électrique
· Puissance fiscale : 4 CV
· Moteur : 4 cylindres en ligne, 16 soupapes + moteur électrique
· Cylindrée : 1 798 cm3
· Puissance : 122 ch à 5 200 trs/min
· Couple cumulé : 142 Nm à 3 600 trs/min
· Type de suralimentation : Pas de suralimentation
· Boîte de vitesse, Nb de rapports : Automatique
· Roues motrices : AV
Performances / Consommation
· Vitesse maxi :180 km/h
· 0 à 100 km/h : 10,60 sec
· Consommation urbaine : 3,50 l / 100 km
· Consommation extra-urbaine : 3,70 l / 100 km
· Consommation mixte : 3,60 l / 100 km
· Volume du réservoir : 43 l
· Emission de CO2 : 78 g/km
· Bonus / Malus écologique : --
· Norme Euro : EU6.2 (C and D-Temp)
Châssis et trains roulants
· Suspension avant : jambe de force
· Suspension arrière : bras superposés
· Taille des pneus avant : 215/45/17
· Taille des pneus arrière : 215/45/17
· Freins à disque : 4
· Direction : Non assistée
· Diamètre de braquage entre trottoirs : 10,80 m
· Blocage de différentiel : non
Maintenant vous avez quelques explications techniques, qui vont faire que cette LOLA REPLICA HYBRIDE, va pouvoir vous donner du plaisir à son volant que ce soit sur des rallyes touristiques ou des épreuves sportives, mises en place spécialement pour les membres du Groupe.
Notre engagement est aussi pour que nous soyons demain en harmonie avec le climat!
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